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DISPONIBLE – LIVRAISON IMMÉDIATE
8 films post-apocalyptiques en combo blu-ray/DVD. Editions limitées à 1000 exemplaires.
Les Guerriers du Bronx / I Guerrieri del Bronx (1982) de Enzo G. Castellari
Les Guerriers du Bronx est une des premières productions italiennes à marcher dans les pas de Snake Plissken, tout en empruntant à Warriors le principe des gangs hyper stylisés. Fort d’un budget de 500.000 dollars, Castellari recrute son jeune premier à la salle de musculation, emmène l’équipe à New York pour y filmer des extérieurs et revient à Rome avec l’ex-gloire de la Blaxploitation Fred Williamson pour orchestrer un déchaînement de violence urbaine entre des motards qui semblent sortir d’un concert des Village People et des gestaflics aux méthodes très expéditives. Sorti dans le monde entier, le film est un succès qui appellera une suite l’année suivante, tandis que le réalisateur et son producteur Fabrizio de Angelis mettent aussitôt en œuvre leur ersatz maison de Mad Max II.
Les Guerriers du Bronx II / Fuga dal Bronx (1983) de Enzo G. Castellari
Encore plus trépidant et débordant d’action que le premier volet, Fuga dal Bronx (appréciez la subtile allusion à Fuga di New York, titre italien de New York 1997) réduit son scénario à l’essentiel pour se concentrer sur des affrontements ininterrompus entre des loubards durs à cuir et des SS qui auraient piqué leurs combinaisons de Temps X à Igor et Grichka. En méchant impitoyable, c’est Henry Silva qui fait office de star américaine – mais pas d’inquiétude, notre Fred Williamson adoré sera de retour dans le troisième film. Notons aussi la présence de la future star du cinéma X italien Moana Pozzi.
Les Nouveaux barbares / I Nuovi Barbari (1983) de Enzo G. Castellari
Oubliez la guérilla urbaine sur fond de quartiers ravagés : Les Nouveaux barbares exploite au maximum son décor de carrière désaffectée pour transposer Mad Max II avec un sens du kitsch sans limites, abusant de plastique transparent thermoformé, d’envolées capillaires improbables, de néons hypnotiques et de sous-texte homophobe. Pas moins de deux héros, l’acteur italien Giancarlo Prete qu’on reverra dans Ladyhawke (1985) de Richard Donner, et notre cher Fred Williamson en pleine période romaine (il tourne l’année suivante dans 2072 les Prédateurs du futur de Lucio Fulci), pour s’opposer au pilier de la nukesploitation qu’est George Eastman, alias Luigi Montefiori. Généreux en diable, Enzo embauche également Anna Kannakis, Miss Italia 1977, qui enchaînera juste après avec 2019 Après la chute de New York (1983) de Sergio Martino.
Les Prédateurs du futur / I predatori di Atlantide (1983) de Ruggero Deodato:
Après avoir créé le scandale avec son chef d’œuvre gore Cannibal Holocaust et réalisé La Maison au fond du parc (interdit durant deux décennies en Angleterre), le cinéaste italien Ruggero Deodato se détourne de l’horreur pour se frotter à un genre à la mode : le cinéma post-apocalyptique. Au carrefour de l’aventure, de la science-fiction et de l’action, Les Prédateurs du futur est appelé à devenir l’une des grandes réussites du cinéma post Mad Max II, l’un des étendards du savoir-faire transalpin en matière de divertissement populaire. Autrement dit, il faut avoir vu Les Prédateurs du futur avant la fin du monde… Et regardez autour de vous, il nous faut faire vite car l’apocalypse frappe déjà à nos portes.
2072 Les Mercenaires du futur / I guerrieri dell’anno 2072 (1984) de Lucio Fulci
Bienvenue en l’an 2072, dans une société fascinée par la violence. Pour divertir les peuples, la Rome du futur a réimaginé les jeux du cirque. Elle convoque désormais ses gladiateurs dans l’arène médiatique et contemple ces mercenaires des temps nouveaux à travers l’œil froid des caméras de télévision. Entre fresque post-apocalyptique et récit dystopique, à mi-chemin entre Mad Max et Le Prix du danger, 2072 Les Mercenaires du futur permet au poète de l’horreur, l’immense réalisateur italien Lucio Fulci (Frayeur, L’Au Delà, La Maison près du cimetière...) d’accrocher une corde de plus à son arc et un genre de plus à sa filmographie. Futurisme clinquant, costumes kitschissimes et critique sociétale y font bon ménage. 2072 Les Mercenaires du futur est autrement dit une œuvre à réévaluer d’urgence.
Les Exterminateurs de l’an 3000 / I Esterminatori dell’anno 3000 (1983) de Giuliano Carmineo
Certainement un des meilleurs sous-Mad Max II, généreux en diable avec ses véhicules bardés de herses, ses poursuites dantesques, ses déchaînements de tôle froissée et ses explosions à foison.
Atomic Cyborg / Vendetta dal futuro (1987) de Sergio Martino
Un film d’anticipation « futuriste » qui emprunte au post-apocalyptique, à Terminator mais aussi à Over the Top avec ses routiers qui font des tournois de bras de fer (bien qu’il ait été tourné avant la sortie du film avec Stallone), il est une sort de chant du cygne pour le cinéma d’exploitation transalpin, qui brillait de ses derniers feux avant d’être emporté par le rouleau-compresseur de la télévision.
| Poids | 1 kg |
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