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Enzo G Castellari : Inglorious Bâtard
L’autobiographie officielle d’Enzo G. Castellari entièrement traduite en français, éditée par Rififi, 420 pages au format 17×24, comportant de nombreuses photos de tournage, avec une préface de l’ami et acteur de prédilection du cinéaste, le légendaire Franco Nero, avec qui il tourna notamment les incontournables Le Témoin à abattre (1973) et Keoma (1976). Pour cette édition française, Rififi a fait appel à Melvin Zed pour une couverture originale avec une composition foisonnante dont il a le secret.
Né dans une famille de cinéma, Enzo Girolami fréquente les plateaux dès son plus jeune âge, gravit les échelons sur le tas et signe ses premières réalisations dès 1967 adoptant le nom de famille de sa mère, Castellari, tout en conservant l’initiale “G” paternelle. Il excelle dans le western, alors en pleine maturité en Italie, et y développe son style, emprunt de sa passion pour le cinéma américain. Dans les années 70, il donne au poliziesco, le polar urbain violent, quelques-uns de ses films les plus marquants. En 1978, c’est au tour du film de guerre avec son œuvre inspirée des Douze salopards, Inglorious Bastards, d’ailleurs sortie en France sous le titre Pour une poignée de salopards. Il commence sa collaboration avec le producteur Fabrizio de Angelis à la fin des années 70 dans une veine ultra-bis, alors que le cinéma d’exploitation italien vit ses dernières années fastes. Post-apo, sharksploitation (Chasseurs de monstres, La Mort au large), rambosploitation (Stryker), et même une incursion du côté de la Cannon avec Sinbad avec Lou Ferrigno, avant d’évoluer vers la télévision et de revenir sur le devant de la scène grâce à Quentin Tarantino en 2009.
Dans son autobiographie, Enzo relate dans son style bien trempé son parcours haut en couleurs, regorgeant d’anecdotes savoureuses et de rencontres passionnantes, à la découverte de sa personnalité attachante et de la grande aventure du cinéma populaire italien, de la grande époque jusqu’à ses derniers feux.
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