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Les Guerriers du Bronx 1 & 2 - Les Nouveaux barbares - Inglorious Bâtard

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Les Guerriers du Bronx 1 & 2 – Les Nouveaux barbares – Inglorious Bâtard

Le prix initial était : 107,00€.Le prix actuel est : 90,00€.

DISPONIBLE – LIVRAISON IMMEDIATE

3 films de Enzo G. Castellari en combo blu-ray/DVD : Les Guerriers du Bronx (1982) + Les Guerriers du Bronx 2 1983) + Les Nouveaux barbares (1984) + Inglorious Bâtard, l’autobiographie de Enzo G Castellari en français

Catégories : Atomic Future, Films, Général

DISPONIBLE – LIVRAISON IMMEDIATE – 3 COMBO BLU-RAY/DVD + 1 LIVRE

Les Guerriers du Bronx / I Guerrieri del Bronx (1982)

“Les premiers à mourir furent les plus chanceux !”

Avec Mark Gregory, Fred Williamson, George Eastman, Vic Morrow, Christopher Connelly, Massimo Vanni, Ennio Girolami, Stefania Girolami, Enzo Girolami

Scénario de Dardano Sachetti, Elsa Briganti et Enzo G Castellari.

En 1990, dans le futur, le Bronx est devenu une zone de non-droit où sévissent les gangs les plus impitoyables. C’est pourtant dans ce ghetto que se réfugie une belle jeune femme qui refuse de prendre la relève de l’empire industriel auquel elle est promise. Elle est sauvée d’une mort certaine par Trash, chef d’une bande de Hell’s Angels, et ils tombent amoureux. La police a ordre de ramener la fugitive coûte que coûte, en exécutant sommairement quiconque s’y opposerait. Trash va devoir nouer une alliance avec les gangs adverses pour affronter les forces du désordre.

Les Guerriers du Bronx est une des premières productions italiennes à marcher dans les pas de Snake Plissken, tout en empruntant à Warriors le principe des gangs hyper stylisés. Fort d’un budget de 500.000 dollars, Castellari recrute son jeune premier à la salle de musculation, emmène l’équipe à New York pour y filmer des extérieurs et revient à Rome avec l’ex-gloire de la Blaxploitation Fred Williamson pour orchestrer un déchaînement de violence urbaine entre des motards qui semblent sortir d’un concert des Village People et des gestaflics aux méthodes très expéditives. Sorti dans le monde entier, le film est un succès qui appellera une suite l’année suivante, tandis que le réalisateur et son producteur Fabrizio de Angelis mettent aussitôt en œuvre leur ersatz maison de Mad Max II.

Caractéristiques de l’édition :

Combo blu-ray . DVD boitier Amaray standard
Jaquette réversible
Master haute définition restauré d’après le négatif original (2015)
Version originale / version française / sous-titres français
Le film en VHS-vision, en SD 4/3 et en français uniquement
Conversation entre Enzo G. Castellari et le producteur Fabrizio de Angelis, 60 minutes
Bande-annonce d’origine restaurée en haute définition
Galerie photo

Les Guerriers du Bronx II / Fuga dal Bronx (1983)

“Ils sont de retour et ils réclament du sang !”

Avec Mark Gregory, Massimo Vanni, Ennio Girolami, Henry Silva, Timothy Brent (Giancarlo Prete), Antonio Sabato, Valeria D’Obici, Moana Pozzi, Romano Puppo

Scénario de Tito Carpi et Enzo Castellari

Une multinationale sans scrupules veut faire main basse sur le Bronx pour une opération immobilière géante. Le cruel Wangler, à la tête de sa troupe d’exterminateurs, est chargé d’éradiquer au lance-flamme la racaille qui survit dans le ghetto. Trash, le chef des motards, prend la tête de la révolte contre ces escadrons de la mort.

Encore plus trépidant et débordant d’action que le premier volet, Fuga dal Bronx (appréciez la subtile allusion à Fuga di New York, titre italien de New York 1997) réduit son scénario à l’essentiel pour se concentrer sur des affrontements ininterrompus entre des loubards durs à cuir et des SS qui auraient piqué leurs combinaisons de Temps X à Igor et Grichka. En méchant impitoyable, c’est Henry Silva qui fait office de star américaine – mais pas d’inquiétude, notre Fred Williamson adoré sera de retour dans le troisième film. Notons aussi la présence de la future star du cinéma X italien Moana Pozzi.

Caractéristiques de l’édition :

Combo blu-ray / DVD boitier Amaray standard
Jaquette réversible
Master haute définition restauré d’après le négatif original (2015)
Version originale / version française / sous-titres français
Le film en VHS-vision, en SD 4/3 et en français uniquement
Conférence “C’est presque pareil” sur les contrefaçons au cinéma au Forum des images par Claude Gaillard et Guillaume Le Disez (2021), avec de nombreux extraits et bandes-annonces, 90 minutes
Bande-annonce d’origine restaurée en haute définition
Galerie photo

Les Nouveaux barbares / I Nuovi Barbari (1983)

“Le genre humain peut-il survivre sans humanité ?”

Avec Giancarlo Prete (alias Timothy Brent), Fred Williamson, George Eastman, Anna Kanakis, Massimo Vanni, Ennio Girolami (alias Thomas Moore), Venantino Venantini

Scénario de Tito Carpi, Enzo G. Castellari et Antonio Visone

Dans un futur proche en 2019, la troisième guerre mondiale a fait de la terre un vaste désert, dans lequel de rares survivants tentent de recréer des communautés. Mais le gang des Templars, dirigé par leur gourou One, les massacre les uns après les autres. Seuls Scorpion, membre repenti des Templars, et Nadir, archer émérite, peuvent s’opposer à leur projet d’extermination de toute vie humaine.

Oubliez la guérilla urbaine sur fond de quartiers ravagés : Les Nouveaux barbares exploite au maximum son décor de carrière désaffectée pour transposer Mad Max II avec un sens du kitsch sans limites, abusant de plastique transparent thermoformé, d’envolées capillaires improbables, de néons hypnotiques et de sous-texte homophobe. Pas moins de deux héros, l’acteur italien Giancarlo Prete qu’on reverra dans Ladyhawke (1985) de Richard Donner, et notre cher Fred Williamson en pleine période romaine (il tourne l’année suivante dans 2072 les Prédateurs du futur de Lucio Fulci), pour s’opposer au pilier de la nukesploitation qu’est George Eastman, alias Luigi Montefiori. Généreux en diable, Enzo embauche également Anna Kannakis, Miss Italia 1977, qui enchaînera juste après avec 2019 Après la chute de New York (1983) de Sergio Martino.

Caractéristiques de l’édition :

Combo blu-ray . DVD boitier Amaray standard
Jaquette réversible
Master haute définition restauré d’après le négatif original (2015)
Version originale / version française / sous-titres français
Le film en VHS-vision, en SD 4/3 et en français uniquement
Interview inédite de Enzo G. Castellari avec de nombreux extraits et bandes-annonces de films, 60 minutes.
Bande-annonce d’origine restaurée en haute définition
Galerie photo

Enzo G Castellari : Inglorious Bâtard

L’autobiographie officielle d’Enzo G. Castellari entièrement traduite en français, éditée par Rififi, 420 pages au format 17×24, comportant de nombreuses photos de tournage, avec une préface de l’ami et acteur de prédilection du cinéaste, le légendaire Franco Nero, avec qui il tourna notamment les incontournables Le Témoin à abattre (1973) et Keoma (1976). Pour cette édition française, Rififi a fait appel à Melvin Zed pour une couverture originale avec une composition foisonnante dont il a le secret.

Né dans une famille de cinéma, Enzo Girolami fréquente les plateaux dès son plus jeune âge, gravit les échelons sur le tas et signe ses premières réalisations dès 1967 adoptant le nom de famille de sa mère, Castellari, tout en conservant l’initiale “G” paternelle. Il excelle dans le western, alors en pleine maturité en Italie, et y développe son style, emprunt de sa passion pour le cinéma américain. Dans les années 70, il donne au poliziesco, le polar urbain violent, quelques-uns de ses films les plus marquants. En 1978, c’est au tour du film de guerre avec son œuvre inspirée des Douze salopards, Inglorious Bastards, d’ailleurs sortie en France sous le titre Pour une poignée de salopards. Il commence sa collaboration avec le producteur Fabrizio de Angelis à la fin des années 70 dans une veine ultra-bis, alors que le cinéma d’exploitation italien vit ses dernières années fastes. Post-apo, sharksploitation (Chasseurs de monstres, La Mort au large), rambosploitation (Stryker), et même une incursion du côté de la Cannon avec Sinbad avec Lou Ferrigno, avant d’évoluer vers la télévision et de revenir sur le devant de la scène grâce à Quentin Tarantino en 2009.

Dans son autobiographie, Enzo relate dans son style bien trempé son parcours haut en couleurs, regorgeant d’anecdotes savoureuses et de rencontres passionnantes, à la découverte de sa personnalité attachante et de la grande aventure du cinéma populaire italien, de la grande époque jusqu’à ses derniers feux.